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22/1/08 |
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Un article du 21 janvier 2008 du Brussels Journal - La voix du conservatisme en Europe - sur la Révolution bleue Nous reproduisons ci-après l’article du Brussels Journal, suivi de sa traduction en français. France’s “Politics of Civilization:” A Culture of Denunciation HALDE's position is founded on the law of February 25, 2003 stipulating that "there is discrimination whenever a different treatment, that lacks an objective and reasonable justification, is directly based on sex, a presumed race, color, ancestry, national or ethnic origin, sexual orientation, civil status, birth, fortune, age. philosophical or religious conviction, the current or future state of health, a handicap or a physical characteristic." […] Note: The French anti-discrimination law, like those of other countries
(e.g. Belgium’s) does not speak of race but of “presumed” or “so-called
race” (“prétendue race”). According to the politically-correct politicians
and ideologues who wrote these bills, human races do not exist because all
people are equal. If races do not exist, however, racists cannot exist
either. Hence, racism has been redefined. Racists are people who
discriminate on the basis of “presumed” or “so-called” race. Non-PC people
realize, of course, that consequently the people prosecuted on the basis of
these laws are presumed or so-called racists. As Mr. Pince writes: Furthermore a veritable culture of denunciation has taken hold. Large
publicity billboards inciting to denunciation have not been seen here since
Vichy. […] Disguised as the politics of civilization, these criminal laws pervert public morality and empty the nation of all content. […] Confronted with such a situation, we must recall the first principle of the Blue Revolution: As a free individual, I rent, I buy and I sell to whomever I want. I recruit whomever I want. I think, I write, I speak, privately or publicly, as I please. The Blue Revolution is a citizens' movement. Two years ago a group of
French businessmen, writers, historians, etc... headed by businessman Claude
Reichman decided that something had to be done about the decline of France.
They launched a movement called the Blue Revolution using mainly the
Internet and probably the radio as ways of sending their message. They began
holding monthly rallies. At first, just a handful of people came; then, it
began to grow and the media took notice. Reichman is the most well-known
member. Their agenda is the opposite of everything Sarkozy stands for. They
are against immigration, aware of the lethal effects of Islamization,
against the welfare state, pro-business, and very much attached to
traditions. France : la « politique de civilisation » est une culture de la dénonciation Gérard Pince, économiste et partenaire de Claude Reichman dans le mouvement « La Révolution Bleue », a mis en ligne une longue critique de la HALDE (Haute Autorité pour la lutte contre les discriminations et pour l'égalité), un organisme de « droits civils » parrainé par le gouvernement et qui a vu le jour en décembre 2004 . Sa fonction est de traquer tous les cas d'homophobie, la discrimination sur le lieu de travail, la discrimination en matière d'embauche, la discrimination entre les sexes, etc. Dirigée par Louis Schweitzer, ancien PDG de Renault, la HALDE est un outil pour la police de la pensée, les extrémistes de gauche, les immigrants et les immigrationistes, et elle cherche à exercer un contrôle total par la menace de poursuites judiciaires. La HALDE à un moment tenté de se doter de pouvoirs judiciaires mais en a été empêchée par le législateur français. Nonobstant cette défaite, elle continue d'agir comme s'il s'agissait d'un tribunal et non pas simplement une « haute autorité » consultative. À la suite d'une dénonciation, la HALDE a réprimandé une personne qui
avait publié une annonce offrant des logements aux fonctionnaires. En vertu
de nos lois actuelles, seuls les citoyens français peuvent être
fonctionnaires. Conclusion de la HALDE : cette personne se rend coupable de
discrimination indirecte ! Fort bien, mais notre Haute Autorité doit
examiner toutes les conséquences de sa décision. Par exemple, […] la
possession d'une carte nationale française d’identité représente une
discrimination à l'égard de ceux qui ne possèdent pas une telle carte. Il
serait donc opportun soit d'abolir notre nationalité, soit de la donner à
tous les résidents. Note : La loi anti-discrimination française, comme celles des autres pays (par exemple la Belgique), ne parle pas de race, mais de «présumée» ou «prétendue race». Selon le politiquement correct des hommes politiques et des idéologues qui ont écrit ces projets de loi, les races humaines n'existent pas parce que tous les hommes sont égaux. Toutefois, si les races n'existent pas, les racistes ne peuvent pas exister non plus. Ainsi a-t-on redéfini le racisme. Les racistes sont des gens qui pratiquent la discrimination sur la base d’une «présumée» ou « prétendue » race. Les personnes non politiquement correctes se rendent compte, bien sûr, que par conséquent, les personnes poursuivies sur la base de ces lois sont de présumés ou prétendus racistes. Comme M. Pince l’écrit : La vague notion de "justification objective et raisonnable" est
soumise à la libre interprétation de la Haute Autorité, ce qui conduit à
toutes les formes d'arbitraire, et crée un dilemme permanent pour les
administrations, les entreprises, et les particuliers tels que les
propriétaires. En vérité, cette loi absurde a été votée à l'instigation
d’associations malfaisantes qui, sous prétexte de lutter contre le racisme,
consacrent leur temps à persécuter le peuple français. En URSS, le «ministre
de la sécurité » a été l'incarnation de l'insécurité totale, envoyant les
gens au goulag pour un oui ou un non. De même, la lutte contre les
discriminations dissimule l'institutionnalisation du racisme anti-blanc en
France. Par ailleurs, une véritable culture de la dénonciation a pris racine.
De grands panneaux publicitaires incitant à la dénonciation n'ont pas été
vus ici depuis Vichy. […] Sous le couvert d’une « politique de civilisation », ces lois pénales pervertissent la moralité publique et vident la nation de tout contenu. […] Face à une telle situation, nous devons nous rappeler le premier principe de la Révolution bleue: En tant que personne libre, je loue, j'achète et je vends à qui je veux, je recrute qui je veux. Je pense, j'écris, je parle, en privé ou en public, comme il me plaît. La Révolution bleue est un mouvement de citoyens. Il y a deux ans, un groupe d’hommes d’entreprise, d’écrivains, d’historiens, etc., dirigé par l’homme d’entreprise Claude Reichman, a décidé qu'il fallait faire quelque chose contre le déclin de la France. Ils ont lancé un mouvement appelé la Révolution bleue en utilisant principalement l'Internet, et probablement la radio comme moyens de faire passer leur message. Ils ont commencé à organiser des rassemblements mensuels. Au début, seulement une poignée de gens sont venus, puis l’assistance a commencé à croître et les médias l’ont remarqué. Reichman est le plus connu d’entre eux. Leur programme est à l'opposé de tout ce Sarkozy défend. Ils sont contre l'immigration, conscients des effets mortels de l'islamisation, opposés à l'État-providence, favorables à l’entreprise et très attachés aux traditions. Les « Bleus » ne sont pas un parti politique. Ils veulent propager leur message et exhortent les Français à se réveiller avant qu'il ne soit trop tard.
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