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21/1/06 |
A propos de faits évidents qui conduisent à une inévitable révolution. Dans le silence des médias, les condamnations s'abattent sur tous les Français moyens : un brave charcutier poursuivi pour " discrimination ", le promoteur d'un site humoristique condamné aux termes d'attendus ubuesques dignes de l'Inquisition, l'enseignante d'Etampes désavouée par sa hiérarchie, des distribution de soupe au lard interdites par les préfectures. Tandis que les Français sont lourdement pénalisés pour des délits d'opinion et des fautes imaginaires, les auteurs de violences physiques font l'objet de toute la mansuétude de la "justice". Elle laisse en liberté les agresseurs de professeurs, relâche les bandes sauvages qui attaquent les trains, relaxe les rappeurs qui crient leur haine des Français et laisse un turlupin poursuivre impunément ses diatribes antisémites. En bref, on persécute les honnêtes gens pour mieux protéger la racaille. Clairement, nous ne sommes plus en République. La liberté de conscience et d'opinion dans tous les domaines cruciaux (religion,
histoire, littérature) est désormais subordonnée au jugement d'officines "
anti-racistes ", alors que chacun sait que ces dernières soutiennent, en secret,
tous les propagandistes d'un nouvel holocauste. Mais une autre conclusion évidente
s'impose aussitôt : puisque la liberté d'expression n'existe plus, vous admettrez
logiquement que tout processus électoral devient dépourvu de sens et que les élections
prévues en 2007 seront donc de facto illégitimes. En conséquence, la révolution
s'avère inévitable. Gérard Pince |