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2/7/21 Victor Saint-Gétorix
     
               Qui sème le vent récolte la tempête

Une mafia est une organisation criminelle dont les activités sont soumises à une direction collégiale occulte et qui repose sur une stratégie d’infiltration de la société civile et des institutions. On parle aussi de système mafieux. (Wikipedia)

Une organisation criminelle est une structure humaine relativement stable de plusieurs personnes respectant les ordres d'un chef ou d'un comité de direction pour faire des profits illicites par des méthodes et dans des domaines prohibés. (id)

Six caractéristiques définissent une mafia (id) :
 - Structuration de l'organisation qui suppose un engagement réciproque de ses membres et un certain nombre de règles internes.
- La violence qui est à la fois utilisée pour accéder à des richesses et pour protéger l'organisation par l'intimidation.
 - La mafia a aussi un rôle social. Les mafieux cherchent à avoir des rôles importants dans des activités de médiation sur le plan politique, social ou économique, en particulier pour la jonction entre la sphère légale et illégale.
- Un ancrage territorial. Ainsi tout en ayant des activités internationales, les mafias cherchent à garder des liens sur leurs territoires d'origine.
- La coexistence entre les activités légales et illégales entre l'ensemble des ressources de l'organisation.
 - Le lien avec les classes politiques et les institutions, soit à l'échelle régionale, soit à l'échelle nationale. Grâce à cette interpénétration, elle arrive à accéder à certaines ressources, dont des marchés publics. Elle arrive dans certains cas à agir en toute impunité judiciaire parce qu'elle monnaie son soutien à la classe politique à travers l'influence qu'elle exerce sur la société.

Si tout cela ne vous rappelle rien, venons-en au fait.

L’URSSAF est une organisation structurée avec règles internes, sans engagement réciproque de ses membres. Admettons. Mais pour ce qui est du reste, voyons d’un peu plus près.

La force armée des gendarmes lui étant rarement nécessaire, la violence de l’URSSAF se réalise sans arme, par huissiers et juges complices : intimidations, mises en demeure, contraintes, faillites, saisies, lourdes sanctions. Ces complices protègent l’URSSAF et lui permettent d’accéder aux biens, principalement ceux des travailleurs indépendants récalcitrants ou en faillite.

’’Nous finançons la solidarité’’ : l’URSSAF prétend à un rôle social et aspire à un rôle important sur le plan politique, social et économique, en particulier dans la jonction entre la sphère légale et illégale.

L’idéologie, l’ignorance, la facilité, l’intérêt personnel, l’argent facilement gagné, la peur et la lâcheté rendent complices de cette organisation de nombreux décideurs, personnalités publiques, médiatiques, syndicales, huissiers, juges, etc.

L’ancrage territorial de l’URSSAF se réalise avec ses déclinaisons départementales, régionales, nationales (ACOSS), européennes. Des relais au sein des instances européennes lui évitent toute sanction pour son refus de se soumettre aux directives européennes abrogeant le monopole de la sécurité sociale.

Si les activités de l’URSSAF peuvent sembler légales par le respect apparent de la législation française - admettons - , elles sont en réalité totalement illégales au regard des dispositions européennes abrogeant le monopole de la sécurité sociale.

Rappelons que toutes les lois françaises sont soumises aux dispositions législatives européennes.

À ce jour, contrairement à l'Italie confrontée de longue date aux phénomènes mafieux, la France n’a pas défini le crime d'association mafieuse.

Grâce à son interpénétration avec la classe dominante politico-syndicalo-médiatique, l’URSSAF accède aux biens des travailleurs indépendants ne demandant que la stricte application des lois françaises et européennes. Quant aux salariés, leurs salaires sont d’emblée amputés par l’URSSAF grâce à la complicité des employeurs craignant un contrôle fiscal ou social. L’URSSAF accède aussi aux biens des salariés.

L’URSSAF agit en toute impunité parce qu'elle monnaie son soutien à toute la classe politique à travers l'influence qu'elle exerce sur la société. Ses conseils d’administration comprennent des représentants syndicaux, majorant l’influence imméritée de l’URSSAF et des syndicats sur le personnel politique. Pour survivre, ce dernier craint avant tout une rupture de la paix sociale par action syndicale ou révolte des trop nombreux assistés, français ou non, ne recevant plus les allocations provenant indirectement de l’URSSAF.

Panem et circenses, clamaient les assistés dans la Rome Antique, du pain et les jeux du cirque. Des allocs et du foot.

On tourne en rond, cette situation est verrouillée, fermée à double tour et cadenassée.

Seules de courageuses personnalités publiques médiatiques, députés, sénateurs, ministres, président de la République, leaders politiques, syndicaux, peuvent forcer l’URSSAF et les juges à appliquer les lois abrogeant le monopole de la sécurité sociale.

Mais le courage existe-t-il encore en France ?

Si cette situation n’est pas résolue rapidement, elle le sera dans l’urgence et l’instabilité sociale.

La participation dérisoire aux dernières élections laisse présager une explosion. Le long règne omniprésent et impuni de cette riche et hypocrite mafia gauchiste responsable de tant de malheurs touche à sa fin. Faites ce que je dis, mais surtout pas ce que je fais.

Ils appellent désormais « vivre-ensemble » leur collectivisme reposant sur la Sécurité sociale et les sommes recouvrées par l’URSSAF.

Leur main-mise sur la France repose principalement sur la pieuvre URSSAF aux pouvoirs sans cesse élargis.

L’URSSAF est le socle de leur « vivre-ensemble »
.
Se réclamant de la Révolution et de la Libération, ces aristocrates donneurs de leçons et leurs laquais collabos seront les cibles du prochain cataclysme. Imbus de leur supériorité, ces privilégiés détestés ne réalisent pas qu’ils incarnent à la fois les aristocrates et les collabos de notre époque.

Il est très facile de connaître les adresses personnelles des responsables et de leurs complices. Ces nantis par l’argent facilement gagné, par les avantages sociaux ou par la sécurité de l’emploi seront personnellement confrontés à la violence déchaînée et imprévisible de leurs victimes.

Récemment quelques ministres ou présidents de cour d’appel ont été violemment agressés jusque dans leur domicile.

N’est respecté que ce qui est respectable, et à force de jugements partiaux systématiques, les juges ne le sont plus depuis bien longtemps.

Ces privilégiés récolteront la haine qu’ils ont semée.

Victor Saint-Gétorix




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