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31/7/07 | Claude Reichman |
Voici pourquoi la France n’est pas sortie du communisme Pourquoi les choses vont-elles mal en France depuis plus de trente ans ? Parce que ce sont uniquement des adversaires de l’économie de marché, qu’ils soient socialistes, gaullistes ou centristes, qui se sont succédé au pouvoir pendant cette période. Ils se sont opposés à toutes les évolutions qui ont bouleversé l’économie mondiale et lui ont permis de connaître une prospérité sans précédent, tandis que la France s’enfonçait dans une crise dont elle ne parvient toujours pas à sortir. Les quelques citations que nous publions ci-après valent mieux que de longs discours. Elles démontrent la gravité du mal qui affecte les « élites » politiques françaises. Jacques Chirac a terminé son second mandat par une phrase où il ose dire que le libéralisme est, comme le communisme, « une perversion de la pensée humaine », ce qui le disqualifie à jamais aux yeux des hommes et des femmes libres du monde entier. Quant à Nicolas Sarkozy, il ne sait pas que penser ! Il est vraisemblablement trop tard pour qu’on lui explique. Les dés de sa présidence roulent en ce moment. Espérons que ce n’est pas vers l’abîme. Claude Reichman Et voici le florilège des communistes qui s’ignorent : « Notre démarche ne peut être aujourd’hui compatible avec cette mode du
libéralisme à tout crin. » « Ce que je reproche au libéralisme, c’est qu’il risque de mener à
l’anarchie et à la concurrence effrénée. » « Libéralisme, thatchérisme, reaganisme, des oripeaux. » « Nous ne proposons pas de substituer le libéralisme au socialisme. » « Je ne suis pas partisan de la politique qui consiste à diminuer de
façon importante les dépenses de solidarité sociale. » « Les néo-libéraux m’apparaissent, dans leur genre, tout aussi
dogmatiques que les marxistes. » « Je suis convaincu que le libéralisme est voué au même échec que le
communisme et qu’il conduira aux mêmes excès. L’un comme l’autre sont des
perversions de la pensée humaine. » « Toutes ces théories économiques … moi-même, parfois je suis un peu
perdu. Ce que je veux, c’est que les choses marchent. »
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